Vitrine de recherche

Ce projet vise à mieux décrire le vécu des adolescents suite au confinement dû à la pandémie Covid-19 en mars 2020 et au retour en classe en septembre de la même année.

Nous notons que l’absence de disparité entre les variations d’emploi chez les hommes et les femmes au Québec est en partie due à la spécificité du Québec, mais semble aussi être expliquée par l’ouverture rapide des services de gardes et des écoles lors de la reprise.

Quand l’Ordre des dentistes du Québec s’est résigné à annuler son congrès annuel, prévu pour le début juin, la demande pour la formation continue a littéralement explosé! Rapidement, les responsables de la formation continue à la Faculté ont su répondre à cette demande en proposant trois formations adaptées à la réalité du confinement et surtout, pertinentes pour les dentistes en temps de pandémie.

Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, le Gouvernement du Québec a décidé en mars 2020 que les élèves du secondaire ne retourneraient pas en classe avant septembre. En raison de ce confinement, les écoles secondaires du Québec ont mis en place des mesures d'urgence pour permettre aux élèves de parfaire leurs apprentissages à travers des activités d'enseignement à distance. Dans ce contexte scolaire inédit, quelle motivation anime les élèves du 2e cycle du secondaire dans la poursuite de leurs études à distance?

Ce guide propose un cadre d’intervention pour aider les milieux scolaires à maintenir un climat scolaire sécuritaire et bienveillant en contexte de pandémie.

La crise actuelle a des répercussions majeures sur la santé psychologique. Comment les organisations et les gestionnaires peuvent-ils intervenir pour favoriser l’équilibre entre les attentes de performance et la santé psychologique du personnel et des gestionnaires?

Ce projet de recherche consiste à outiller les différents acteurs de l’industrie des croisières de la région de Québec afin de leur permettre de développer un modèle d’affaire facilitant la relance et la durabilité du tourisme de croisière post-pandémie.

Le projet de Baromètre s’intéresse à l’acceptabilité sociale des méthodes de collecte et de traitement des données numériques massives et trace les contours de l’opinion publique par rapport à l’utilisation de l’intelligence artificielle, un débat qui prend une nouvelle ampleur dans le contexte actuel de crise sanitaire.

La pandémie de COVID-19 est une invitation à modifier les critères de performance (économique, financière, sportive, culturelle, etc.) qui gouvernent notre vie collective.

Pour faire face à la pandémie de la COVID-19, la MRC de Mékinac, partenaire principal du projet, a rapidement posé les premiers jalons d’un plan de mitigation des impacts économiques, communautaires et psychosociaux, incluant notamment une campagne de promotion de l’achat local.

Depuis le début de la pandémie de COVID-19, plusieurs spécialistes attirent l’attention sur les risques accrus de violence conjugale et familiale. Des études indiquent aussi que les situations de désastres, de catastrophes ou de sinistres comme celle-ci révèlent des situations de violence conjugale et familiale, en exacerbent d’autres et en font émerger de nouvelles.

Dans le contexte actuel, et en réponse aux besoins exprimés par le Centre collégial de soutien à l'intégration (CCSI), le présent projet visera à mesurer le stress ressenti par les étudiants en situation de handicap (ÉSH) en contexte de pandémie et à évaluer l’effet de ce stress sur leur parcours collégial.

La pandémie exerce une pression sans précédent sur les soins de santé. Dans les services d'urgence, où les patients les plus malades se présentent pour une évaluation et des soins précoces, la gestion de la COVID-19 constitue une source de préoccupation constante.

L’entreprise à mission sociétale est un modèle d’un nouveau genre qui est susceptible de pouvoir répondre aux enjeux sociétaux de notre temps. Cette forme d’entreprise allie rendement financier et mission sociale. Ce double objectif est inscrit dans ses statuts. Axée sur la collectivité, les principes de sa gouvernance sont modifiés, les actifs et les dividendes sont protégés, des mécanismes de transparence et de contrôle sont présents.

Pour la sécurité des médicaments et la santé des patients du Canada, il est crucial et urgent d’évaluer comment les déclarations obligatoires d’effets secondaires graves ont évolué pendant la pandémie de la COVID-19 (mars 2020). Le tout se fera via une revue de dossiers de 1000 patients hospitalisés à l’IUCPQ-UL avant, pendant et après la pandémie de la COVID-19 et l’implantation de la Loi de Vanessa.

Plusieurs observateurs conviennent que la crise sanitaire liée à la COVID-19 bouleverse les affaires comme on les connaît. La préparation de l’après-crise est l’occasion d’élargir la réflexion et de revoir la façon d’aborder les affaires, en y intégrant notamment des considérations sociales et environnementales.

Les experts Frank Pons, professeur titulaire et directeur de l’Observatoire international en management du sport à FSA ULaval et Lionel Maltese, professeur associé à la Kedge Business School, membre du comité exécutif de la Fédération française de tennis, et manager délégué des tournois Open 13 et Open Parc Auvergne Rhône-Alpes, dévoilent leur vision future du modèle d’affaires du sport professionnel dans le monde.

À l’hiver 2020, alors que la COVID-19 ravageait la Chine, le système de santé au Canada était dans l’inconnu et suivait l’évolution du virus SARS-CoV-2. Le nombre de décès augmentait et de plus en plus de pays étaient désormais touchés. Cette maladie virale faisait peur et des professionnels de la santé pouvaient craindre pour leur sécurité et celle d’autrui au moment d’intervenir auprès de personnes infectées.

Face à l’incertitude scientifique et aux rares données disponibles actuellement pour guider le personnel scolaire vers les meilleures pratiques à adopter en contexte de pandémie, la journée d’étude annuelle de la Chaire s’est transposée en colloque virtuel rejoignant des membres du personnel scolaire des quatre coins du Québec pour recueillir leur perception du climat scolaire et pour partager leurs pratiques réinventées depuis la rentrée 2020-2021.

Denis Boudreau et son équipe travaillent sur une technologie pouvant détecter rapidement les anticorps du coronavirus dans un échantillon sanguin. Pour les besoins de ce projet, son équipe combine une approche de détection optique qui existe déjà, l’analyse par résonance de plasmons de surface, à des capteurs moléculaires greffés à un film métallique.

Par la réalisation d’entretiens auprès de randonneurs et de gestionnaires de sites de randonnée, la recherche vise à mieux comprendre comment la pandémie et les images influencent les décisions des randonneurs quant au type de randonnée choisie et comment elles accroissent les risques, autant pour les randonneurs eux-mêmes qu’envers l’environnement naturel.

Le projet a pour objectif principal de documenter l’adaptation des modalités d’intervention mises en place par la Clinique santé des réfugiés de Québec face aux réactions psychologiques et aux besoins psychosociaux liés à la pandémie de COVID-19 chez les personnes réfugiées dans la région de la Capitale-Nationale.

La présente étude vise à mieux comprendre comment les personnes aînées, particulièrement celles ayant des incapacités, perçoivent et vivent les mesures de confinement et de distanciation sociale en lien avec leur participation sociale. Il s’agit d’identifier non seulement les difficultés rencontrées par les personnes aînées, mais aussi les stratégies qu’elles utilisent pour s’adapter au contexte de crise sanitaire.

En avril 2020, il y avait beaucoup de fébrilité au laboratoire de Denis Leclerc, professeur titulaire au Département de microbiologie-infectiologie et d’immunologie à la Faculté de médecine et chercheur au Centre de recherche du CHU de Québec – Université Laval.

Les objectifs de cette étude sont : 1) identifier les facteurs de risque d'infection par le SRAS-CoV-2; 2) déterminer la relation entre le SRAS-CoV-2 et la détérioration de la fonction pulmonaire et, 3) déterminer la relation entre le SRAS-CoV-2 et le risque futur de maladies pulmonaires chroniques, cardiovasculaires et rénales, d'hospitalisations et de décès.

Ce projet de recherche, dirigé par Stéphanie Duval, professeure agrégée du Département d’études sur l’enseignement et l’apprentissage, porte sur la transition vers l’école en contexte de pandémie.

La Chaire de recherche sur les virus respiratoires et pandémiques vise trois axes précis d’étude, soit l’épidémiologie et la morbidité, les antiviraux et la résistance à la vaccination. Au fil du temps, les travaux permettront de mieux comprendre la transmission des virus respiratoires au sein de diverses communautés québécoises et internationales et d’identifier plus précocement, les sujets à risque de complications majeures.

La COVID-19 et les mesures sanitaires associées se sont invitées dans la vie de beaucoup d’employé(e)s qui œuvrent dans les entreprises et organisations canadiennes. L’objectif du projet est de réaliser une recension des écrits qui portent sur impacts de la COVID-19 sur la vie professionnelle.

L'idée était de construire dans la région de Québec un laboratoire de niveau de confinement 3 où il serait possible d'étudier, sous leur forme vivante, des microorganismes comme ceux qui causent l'influenza aviaire, le syndrome respiratoire aigu sévère, la lèpre, la tuberculose et la fièvre jaune.

Dans le contexte actuel de la pandémie, une nouvelle étude transversale mixte vise à obtenir des résultats à large échelle sur l’expérience de deuil et l’utilisation des moyens technologiques de communication, tels que la rencontre virtuelle et les cérémonies de commémoration virtuelles.

Les restrictions importantes liées aux visites dans les centres de soins de longue durée pour freiner la transmission du virus de la COVID-19 ont eu des effets délétères sur les personnes âgées et des conséquences importantes sur les proches aidants. Afin d’atténuer les effets négatifs, différentes stratégies peuvent être utilisées pour préserver des contacts avec les proches et ainsi promouvoir des actions protectrices de l’état mental et physique de nos aînés.

Au Québec, les mesures de confinement du printemps 2020 et de l’hiver 2021, de même que les règles sanitaires de distanciation physique et de réduction des contacts, ont forcé les professionnels de la santé et les établissements publics et privés à repenser leurs façons d’offrir des services.

Les virus sont partout. Mais qu’en est-il de leur élimination lors du processus de traitement des eaux usées, plus particulièrement dans le contexte entourant la pandémie actuelle? Comment assurer la santé publique, notamment en ce qui a trait à la réutilisation de l'eau et des biosolides?

C’est en pleine pandémie que la professeure de microbiologie et chercheure au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec (IUCPQ), Caroline Duchaine, a obtenu une Chaire de recherche du Canada sur les bioaérosols.

Le présent contexte de pandémie et d’éloignement social qui en découle pèse lourdement sur le travail scientifique des étudiantes et des étudiants chercheurs, dans l’ensemble des domaines de recherche à l’Université Laval. La production des mémoires et des thèses est sinon stoppée, lorsque l’étape en cours nécessite un contact rapproché de collecte de données auprès de sujets humains ou une présence en laboratoire jugé non essentiel, voire fortement ralenti.

L’accessibilité aux soins dentaires est un enjeu majeur pour la société québécoise, alors que près du quart de la population affirme éprouver des difficultés, de toutes sortes, pour se faire soigner par un dentiste. Pour contrer la tendance, la Faculté de médecine dentaire a augmenté sa contribution à la Clinique SPOT, qui offre des soins de santé gratuits à la population en situation de vulnérabilité de la région de Québec. Deux après-midi par semaine, depuis la session d’automne 2020, trois résidents du programme de dentisterie multidisciplinaire se rendent dans les quartiers centraux afin de soigner la clientèle de la Clinique SPOT.

Le projet de la professeure Marie-Pierre Gagnon, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologie et pratiques en santé, vise à contribuer à la contextualisation et l'adaptation des mesures de santé publique afin d'améliorer leur mise en œuvre auprès des personnes déplacées internes et des migrants et leur efficacité pour ralentir ou arrêter la propagation de la COVID-19. Une étude est en cours auprès de personnes déplacées et de migrants au Mali et au Burkina Faso.

En collaboration avec l’Université McGill et l’Université d’Alberta, l’entreprise iMD Research de Montréal a fait appel à l’expertise en microélectronique médicale de Benoit Gosselin et son équipe. Elle a créé, au cours des derniers mois, un prototype de bracelet qui surveille les signes vitaux en temps réel. À terme, le petit appareil qui se porte au poignet pourrait mesurer la fréquence respiratoire, la pression artérielle, la température, la saturation d’oxygène et l’activité électrique du cœur.

Un projet de recherche provincial piloté par CentrEau visant à mettre en place un système de surveillance du virus SRAS-CoV-2 grâce aux eaux usées dans cinq régions du Québec

Les fibres cellulosiques constituant le bois sont parmi les matériaux renouvelables et biodégradables ayant le potentiel de remplacer les fibres synthétiques dérivées d’hydrocarbures pétroliers généralement utilisées dans la fabrication de divers types d’EPI, tels que les masques.

Attitudes et comportements religieux face à la COVID-19 : Les religions créent du lien social et expliquent le sens des choses. La menace que représente le coronavirus, les règles de confinement et de distanciation sociale ont mis à mal ces dimensions du religieux. Comment les religions se sont-elles adaptées à cette nouvelle situation ? Quelles réponses fournissent-elles pour expliquer la maladie et la mort ?

La professeure titulaire de l’École de psychologie de la Faculté des sciences sociales, Marie-Hélène Gagné, accompagnée de ses collaboratrices, ont réalisé une étude fort intéressante en comparant la situation de 127 familles avec enfants de 5 à 17 ans un an avant la pandémie et après l’instauration des mesures de confinement du printemps 2020.

Les sociétés humaines sont inévitablement marquées et animées par la quête du « sens » à donner au monde qui les entoure. Mais qu’en est-il du sens des crises? Celles-ci peuvent-elles véritablement avoir un sens, autre que celui de la fatalité la plus absurde et la plus arbitraire? Est-il même permis de poser la question du sens des crises?

Dans le cadre du cours TEN7001 Approche systémique et analyse de besoins, sous la responsabilité de Mme Nadia Naffi, professeure adjointe et titulaire de la Chaire de leadership en enseignement sur les pratiques pédagogiques innovantes en contexte numérique – Banque Nationale, les travaux ont été réorientés dans le contexte de la COVID-19.

L'objectif global de cette étude vise à comprendre rapidement les impacts du contexte et des mesures liées à la COVID-19 sur la transformation des services de soutien et la santé périnatale des femmes enceintes, des futurs pères et de leur enfant à naître.

Afin d’aider le gouvernement du Québec dans son processus de déconfinement, le professeur Marc Brisson et l’épidémiologiste Mélanie Drolet, du Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval, ont étudié les contacts sociaux pour produire des scénarios de propagation du coronavirus.

Des chercheurs et chercheuses de l'Université Laval rattachés aux quatre centres de recherche du CIUSSS de la Capitale-Nationale veulent savoir comment la pandémie a changé la vie des gens. Pour ce faire, ils lancent l'étude « Ma vie et la pandémie » (MAVIPAN). Leur but : documenter toutes les répercussions psychosociales, négatives ou positives, de la crise de la COVID-19 dans le quotidien de ces personnes.

Quel ton adopter et quel contenu prioriser pour communiquer de manière responsable dans l’après-COVID-19? Jessica Darveau, professeure adjointe du Département de marketing FSA Université Laval et Sébastien Boulanger, cofondateur et directeur de la création chez GRDN, vous présentent lors de ce webinaire de 43 minutes, des parallèles entre le marketing de cause et les communications actuelles des marques.

Dans le contexte de la pandémie de COVID-19, l’OBVIA a créé, avec le soutien des Fonds de recherche du Québec (FRQ), un comité de travail spécial qui a pour objectif d’évaluer les effets que les systèmes d’intelligence artificielle et les outils numériques déployés pour lutter contre la propagation de la COVID-19 ont ou pourraient avoir sur nos sociétés.

La professeure Ève Dubé, de la Faculté des sciences sociales et du Centre de recherche du CHU de Québec –Université Laval, concentre ses travaux sur les facteurs individuels et socioculturels qui influencent l’adoption des recommandations de santé publique liées à la COVID-19.

Les personnes fragiles, plus âgées ou qui présentent des comorbidités sont les plus à risque de décès ou d'incapacités graves liés à la contraction de la COVID-19. De ces patients, il est attendu que plusieurs seront hospitalisés dont une importante proportion nécessitera des soins intensifs. D’autres malheureusement en perdront la vie.

Un stage « urgence sanitaire » a été mis sur pied en mai par le Vice-décanat aux études médicales postdoctorales pour permettre aux résidents et aux résidentes de mieux comprendre les enjeux de cette pandémie et les retombées sur leur pratique.

L'objectif de l’étude est de comprendre comment divers aspects de la vie des femmes ayant eu un diagnostic de cancer du sein ont été affectés pendant et après la pandémie. L’accent sera mis sur les impacts au niveau de la santé physique, la santé mentale, les soins et traitements, ainsi que sur le niveau d’adoption des mesures gouvernementales liées à la pandémie.

La pandémie nous isole, et cette réalité est encore plus grande pour des collègues vivant en Afrique et en Asie. À la suite d’un échange, la Conférence des institutions de théologie, présidée par le professeur Gilles Routhier de l’Université Laval, a lancé l’idée de tenir un séminaire international sur les enjeux éthiques, ecclésiaux et spirituels qui se présentent à nous, soit le Séminaire de la Conférence des institutions des théologies (CICT).

Production d’un livre blanc bilingue qui met en lumière la manière dont les bureaux de soutien à l’enseignement, les centres d’enseignement et d’apprentissage et les entités équivalentes ont abordé et prévoient aborder les tendances et les problèmes de l’apprentissage numérique dans le contexte de la perturbation de l’enseignement causée par la COVID-19.

L’équipe de recherche de la Chaire de leadership en enseignement des sciences sociales numériques de l’Université Laval a lancé en janvier dernier le Projet Quorum, une application Web qui permet de connaître l’humeur et les perceptions des décideurs publics, des médias et de la population québécoise face à la COVID-19 et aux mesures mises en place pour la contrer.