Milieu de vie pour les étudiantes et les étudiants des Premiers Peuples
L’Université accueille le 3e milieu de vie et de résidences pour étudiantes et étudiants des Premières Nations du Québec, un projet de la Société immobilière du Regroupement des centres d’amitié autochtones du Québec (SIRCAAQ).
La construction de 7 étages offrira 94 logements réservés aux autochtones, une cuisine collective, des salles polyvalentes, des lieux d’étude et un centre de la petite enfance à l’usage prioritaire pour les étudiantes et étudiants autochtones.
Il prévoit aussi un point de rencontre interculturel ouvert à toutes et à tous. Le bâtiment est appelé à servir la communauté étudiante autochtone de l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur de la région (cégeps et universités) et leur famille.
En accueillant ce bâtiment, l’Université souhaite démontrer son profond engagement envers la réconciliation avec les Premiers Peuples et la mobilisation qui anime sa communauté.
Elle souhaite aussi favoriser la réussite et la persévérance scolaires des personnes issues des Premières Nations et à leur offrir un lieu culturellement sécuritaire. Le projet s’inscrit notamment au sein du plan institutionnel En action avec les Premiers Peuples et de la Stratégie de développement durable. Il est soutenu financièrement par le ministère de l'Enseignement supérieur et par l’Université Laval qui consent gracieusement le terrain.
Informations sur le projet
Emplacement sur le campus
Le projet fait l’objet d’une convention d’emphytéose qui porte sur un terrain situé à l’est du pavillon Palasis-Prince, près de la jonction de la rue de la Terrasse et de l’avenue du Séminaire. Le site a été choisi avec la SIRCAAQ, notamment pour sa proximité avec le cœur du campus et de la forêt.
Propriétaire du projet
Société immobilière du Regroupement des centres d’amitié autochtones du Québec (SIRCAAQ)
Maquettes
Lafond Côté Architectes
Échéancier
Début des travaux : automne 2024
Durée prévue : 2 ans
Nouvelle
Le projet de résidence pour étudiantes et étudiants autochtones devrait être terminé à l'automne 2026 (ULaval nouvelles)
