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Album photos

  • Rapport de séjour - Photo 1
    Les femmes de la communauté qui ont participé aux sessions de formation sur l'entreprenariat féminin à Karongi.
  • Rapport de séjour - Photo 1
    Les couples ont participé à des discussions ouvertes sur les problématiques soulevées par les hommes et les femmes, chacun exprimant ses préoccupations et perspectives respectives.
  • Rapport de séjour - Photo 1
    Les femmes se sont réunies pour identifier et discuter des défis qu'elles rencontrent, tant dans leur vie conjugale que dans la gestion de leurs activités entrepreneuriales.
  • Rapport de séjour - Photo 1
    Photo montrant les bénéficiaires ayant participé à la formation à Karongi.
  • Rapport de séjour - Photo 1
    Shima Au Pays Des Milles Collines

Informations sur le séjour de mobilité

  • Période du séjour à l’étranger: 2025-01-13 - 2025-04-11
  • Pays et ville du séjour: Kigali, Rwanda
  • Programme de mobilité: Stage international et interculturel
  • Programme d’étude: Maîtrise en Études internationales
  • Faculté: Sciences de l'administration
  • Partenaire: Autre partenaire
  • Autre partenaire: CECI & Duterimbere ONG
  • Courriel de l'étudiant:
  • Rapport coup de cœur par le BI

Évaluation générale du séjour à l’étranger

Appréciation générale de votre séjour

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Avant le départ

Visa

  • Avez-vous eu besoin d’un visa?

    Non

  • Commentaires ou conseils à donner à des étudiants pour le processus de demande de visa?

    Je n’ai personnellement pas eu à faire une demande de visa pour mon stage, car étant originaire du Rwanda, je n’en avais pas besoin pour y séjourner dans le cadre de ma mission. Cela dit, le programme de coopération volontaire (PCV) offre un accompagnement complet et personnalisé pour chaque étape de la demande de visa. De la préparation des documents à la correspondance avec les ambassades, en passant par le suivi des délais, l’équipe est là pour vous guider, vous informer et vous soutenir.

Préparation générale

  • Cinq choses à apporter, autre que votre ordinateur et votre appareil photo?

    1. Un carnet de notes - Rien de mieux pour capturer des idées sur le terrain, noter des contacts ou garder une trace des apprentissages quotidiens. 2. Des vêtements polyvalents et confortables - Pense à des tenues adaptées pour les formations, les rencontres officielles mais aussi les sorties informelles ou les journées sur le terrain 3. Des adaptateurs de prises universels - Indispensable si tes chargeurs ou appareils ont des fiches différentes. 4. Crème solaire + répulsif anti-moustique – Selon la région, c’est indispensable. 5. Chaussures confortables – Si tu es souvent en déplacement ou sur le terrain.

  • Si l'expérience était à refaire, y a t-il des aspects de votre préparation auxquels vous accorderiez plus d'importance ou que vous feriez autrement?

    Honnêtement, non. Je ne changerais rien à ma préparation. J’ai pris le temps nécessaire pour bien m’informer, organiser les aspects logistiques et me préparer mentalement et professionnellement à cette expérience. Cela m’a permis de vivre mon stage de manière sereine, efficace et enrichissante, tant sur le plan personnel que professionnel. Chaque étape de la préparation a contribué à faire de ce séjour un succès.

Accueil

  • Appréciation générale de l'accueil que vous avez reçu:

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  • Décrivez les aspects de la structure d’accueil de votre milieu d’études ou de stage que vous avez le plus appréciés (mesures et programmes d’accueil, personnes-ressources, journées d’orientation, etc.):

    Accueil à l’aéroport À mon arrivée à Kigali, je n’ai pas été personnellement accueillie par l’équipe du CECI Rwanda, ayant été prise en charge directement par ma famille. Cependant, j’ai pu constater que les deux autres volontaires arrivés en même temps que moi ont bénéficié d’un accueil chaleureux de la part de l’équipe locale. Une voiture mise à disposition par le CECI les a conduits à leur hôtel, ce qui témoigne d’une bonne organisation logistique et d’un souci d’accompagnement personnalisé pour les volontaires. Activités de la session d’intégration La session d’intégration a été marquée par un accueil chaleureux de la part du personnel du CECI Rwanda. Elle a permis une première prise de contact conviviale avec les membres de l’équipe ainsi que les autres volontaires. L’équipe a pris le temps de nous présenter les objectifs du programme, les valeurs de l’organisation et les attentes spécifiques en matière de participation volontaire. Nous avons également reçu des explications détaillées sur les livrables à produire tout au long de notre mandat, tels que les rapports mensuels et finaux, ce qui nous a permis de mieux comprendre le cadre de notre engagement. Présentation à l’équipe de travail Dès le premier jour, j’ai été accompagnée à l’organisation partenaire, Duterimbere ONG, où j’ai été introduite à l’ensemble de l’équipe présente. L’accueil a été très chaleureux et bienveillant, ce qui a facilité mon intégration dès les premiers instants. J’ai senti une véritable volonté de collaboration de la part de mes collègues, ainsi qu’un respect mutuel qui a posé les bases d’un climat de travail positif. Intégration dans le milieu de stage Mon arrivée dans le milieu de stage s’est faite dans d’excellentes conditions. Après m’avoir souhaité la bienvenue, l’équipe m’a conduite à mon bureau attitré et m’a offert un tour des locaux pour me familiariser avec l’environnement de travail. Mon superviseur direct a pris le temps de me recevoir personnellement afin de m’expliquer les besoins actuels de l’organisation, les priorités du moment, ainsi que les attentes spécifiques envers ma contribution. Cette rencontre initiale m’a permis de bien cerner le rôle que j’allais jouer au sein de l’organisation et a renforcé mon engagement à répondre efficacement aux objectifs fixés.

Études et stages

  • Appréciation générale des activités académiques ou de stage:

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  • L'encadrement dans votre lieu de stage (interaction avec le partenaire et les responsables du stage, etc.) :

    Encadrement dans le lieu de stage Mon intégration au sein de l’organisation partenaire, Duterimbere ONG, a été accompagnée d’un encadrement attentif et structuré dès le début de mon stage. Dès ma première journée, mon superviseur m’a accueillie personnellement pour une rencontre d’orientation. Nous avons pris le temps d’échanger sur les priorités actuelles de l’organisation, les défis rencontrés sur le terrain, ainsi que les axes sur lesquels ma contribution serait la plus pertinente. Cet échange initial a permis de poser les bases d’une collaboration claire, fondée sur la confiance et la complémentarité des compétences. Les interactions régulières avec mon superviseur ont facilité le suivi de mes activités. Des réunions hebdomadaires informelles ou formelles ont permis de faire le point sur l’avancement des tâches, de réajuster certaines actions au besoin, et d’aborder ensemble les solutions à envisager face aux éventuels défis rencontrés. J’ai particulièrement apprécié la disponibilité de l’équipe et la transparence dans les échanges, ce qui a grandement favorisé un environnement de travail propice à l’apprentissage et à l’initiative. Par ailleurs, l’organisation a fait preuve d’une ouverture remarquable à mes suggestions et propositions. Cette posture collaborative m’a permis de m’impliquer activement dans plusieurs volets du programme, notamment la rédaction de rapports stratégiques, la participation à des formations de terrain, ainsi que la contribution à des activités de communication et de mobilisation communautaire. En somme, l’encadrement reçu au sein du milieu de stage a été structuré, bienveillant et enrichissant, favorisant une expérience à la fois professionnelle et humaine. Cet accompagnement a joué un rôle clé dans la réussite de mon stage et dans la qualité de ma contribution à la mission de Duterimbere ONG.

  • La facilité à obtenir de l'information, du matériel nécessaire à la réalisation des activités de stage, des documents demandés, etc. :

    Accès à l’information, au matériel et aux documents nécessaires Dans l’ensemble, l’accès à l’information et aux ressources nécessaires à la réalisation de mes activités de stage au sein de Duterimbere ONG s’est déroulé de manière satisfaisante. L’équipe a fait preuve d’ouverture en partageant les documents pertinents, les outils internes, ainsi que les informations contextuelles utiles pour m’aider à bien comprendre les enjeux et les priorités de l’organisation. Lorsque j’ai eu besoin de matériel pour préparer ou animer certaines activités, ou encore pour produire des livrables tels que des rapports ou des supports de communication, les ressources ont généralement été mises à ma disposition sans difficulté. Cependant, il m’est arrivé à quelques reprises de constater un certain délai dans la réponse à mes demandes par courriel. Dans ces cas, il a été nécessaire que je me déplace physiquement au bureau ou que je relance l’équipe pour rappeler ma requête. Ces démarches ont toujours été bien reçues et ont permis d’accélérer le processus, mais cela demandait une certaine proactivité de ma part pour assurer le bon déroulement des activités planifiées. Malgré ces petits délais, la collaboration est restée fluide et respectueuse, et j’ai pu accéder à toutes les informations et ressources essentielles à la réalisation de mon mandat. Cette expérience m’a également permis de renforcer mes compétences en communication professionnelle et en gestion autonome des priorités.

  • La charge de travail, l'horaire, les modes d'évaluation, etc. :

    Charge de travail, horaire et modes d’évaluation La charge de travail qui m’a été confiée tout au long de mon stage a été bien équilibrée et adaptée à mes compétences, tout en me permettant de relever des défis stimulants. J’ai eu l’occasion de participer à une diversité de tâches, allant de la planification et animation d’activités de terrain à la rédaction de rapports stratégiques, en passant par le soutien à la communication organisationnelle. Cette variété m’a permis d’élargir mes compétences tout en apportant une réelle valeur ajoutée à l’organisation. L’horaire de travail était relativement flexible, ce qui m’a permis de bien gérer mon temps entre les activités sur le terrain, les tâches de bureau, et les livrables attendus. En général, la semaine de travail suivait un rythme régulier de lundi à vendredi, mais des ajustements ponctuels étaient possibles selon les besoins opérationnels ou les échéances à respecter. L’équipe a fait preuve de compréhension et de souplesse, ce qui a facilité une gestion autonome de mon emploi du temps. Concernant les modes d’évaluation, un suivi régulier était assuré par mon superviseur, principalement sous forme de discussions hebdomadaires sur l’avancement des activités. Ces échanges informels mais structurés ont permis d’assurer une bonne coordination et de réajuster les priorités en temps réel. En parallèle, le CECI assurait un encadrement complémentaire à travers des bilans à mi-parcours et en fin de mandat, ce qui permettait d’évaluer la progression des objectifs du stage, de faire le point sur les apprentissages réalisés, et de formuler des recommandations pour la suite. Dans l’ensemble, la charge de travail, l’horaire et les mécanismes de suivi ont contribué à créer un cadre de stage dynamique, formateur et respectueux de l’équilibre personnel.

Vie pratique et pays d'accueil

  • Appréciation générale de la qualité de vie dans votre pays d'accueil:

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  • Durée du stage :

    3 mois semaine(s)

Budget

Merci de détailler approximativement vos dépenses de base en dollar canadien. Ceci aidera grandement les futurs participants à planifier leur budget.

  • Coût du stage : (inscription, accueil, session d'intégration, hébergement, nourriture, supervision, transport local) :

    3500$

  • Vaccination :

    150$

  • Aviez-vous accès à une cuisine?

    Non

  • Matériel & trousse de santé : (filets, médicaments, etc.) :

    100$

  • Billet d'avion :

    2000$

  • Assurances (/mois) :

    120$

  • Communication (cellulaire, etc) (/mois) :

    50$

  • Dépenses personnelles (/mois) :

    500$

  • Avez-vous eu à faire des dépenses inattendues? Précisez :

    Dépenses inattendues Personnellement, je n’ai pas eu à faire face à des dépenses inattendues au cours de mon stage. L’ensemble des frais courants liés à ma vie quotidienne et à mes activités professionnelles était prévu et bien géré dans le cadre de mon budget initial. Cela m’a permis de vivre mon expérience de manière sereine sur le plan financier. Cependant, il est important de souligner que certains volontaires pourraient être confrontés à des coûts additionnels selon leur situation d’hébergement. Par exemple, en fonction du type de logement choisi, certains propriétaires exigent le paiement d’un dépôt de garantie, en plus du premier mois de loyer, dès l’arrivée. Cela peut représenter une dépense importante à prévoir au tout début du séjour. Par ailleurs, dans plusieurs cas, les charges comme l’électricité, l’eau ou encore le Wi-Fi ne sont pas toujours incluses dans le loyer et doivent être réglées séparément. Ces frais, bien que modestes au quotidien, peuvent s’accumuler sur la durée et nécessitent donc une planification budgétaire adéquate. En résumé, même si je n’ai pas personnellement rencontré de dépenses imprévues majeures, il est recommandé de prévoir une marge de sécurité financière pour couvrir ces frais potentiels, notamment liés au logement et aux services de base.

  • Est-ce que certains éléments étaient plus ou moins chers que ce que vous pensiez? Précisez :

    Éléments plus ou moins chers que prévu Au cours de mon séjour, j’ai observé que certains éléments étaient plus chers que je ne l’avais anticipé, tandis que d’autres se sont révélés étonnamment abordables. Parmi les postes de dépenses plus coûteux que prévu, je peux citer les sorties au restaurant, les déplacements en taxi voiture, ainsi que les courses effectuées dans les supermarchés. Ces services, bien qu’accessibles, peuvent rapidement représenter un budget conséquent, surtout lorsqu’ils deviennent fréquents. Les prix pratiqués dans les zones urbaines ou plus touristiques sont généralement plus élevés, ce qui peut surprendre lorsqu’on ne connaît pas encore bien le contexte local. À l’inverse, d’autres biens et services étaient beaucoup plus économiques, ce qui a permis de compenser certains coûts. C’est notamment le cas de la nourriture achetée dans les marchés locaux, souvent très abordable, fraîche et de bonne qualité. Le transport en commun, tel que les bus ou les motos-taxis (« moto »), représente également une option de déplacement très économique et pratique pour circuler en ville ou se rendre sur son lieu de travail. En résumé, bien que certaines dépenses aient dépassé mes prévisions initiales, il est tout à fait possible de s’adapter et de gérer son budget efficacement en privilégiant les options locales et accessibles.

  • Comment avez-vous géré votre argent dans votre pays d'accueil (ouverture d'un compte de banque, etc.)?

    Gestion de l’argent dans le pays d’accueil Pour gérer mes finances pendant mon séjour au Rwanda, j’ai adopté une approche à la fois pratique et sécurisée, en combinant l’utilisation d’applications de transfert d’argent et de solutions locales. Je recommande fortement l’ouverture d’un compte ou d’un profil sur des plateformes telles que Remitly ou WorldRemit. Ces services se sont révélés très efficaces pour effectuer des transferts rapides et sécurisés depuis un compte bancaire canadien vers le système de paiement mobile le plus utilisé au Rwanda, appelé MoMo (Mobile Money). Ce dernier permet de recevoir de l’argent directement sur son téléphone, de payer ses achats, de régler ses factures ou de retirer du cash dans différents points de service. C’est une solution extrêmement pratique au quotidien. En complément, il est également utile d’avoir du cash avec soi, surtout en début de séjour. J’ai personnellement prévu une certaine somme en devise canadienne que j’ai pu échanger dans les banques locales à mon arrivée. Cela m’a permis de couvrir les premières dépenses (logement, transport, alimentation) en attendant de mettre en place les transferts électroniques. Cette combinaison – transferts numériques via Remitly ou WorldRemit, utilisation de MoMo et accès à du cash échangé localement – m’a permis de gérer efficacement mes dépenses, tout en minimisant les frais bancaires et les risques liés au transport de grosses sommes en espèces.

Logement

  • Appréciation générale de votre logement :

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  • Précisez le type de logement :

    Appartement en colocation

  • Recherche et accès au logement (comment, quand et en combien de temps l'avez-vous trouvé, un quartier ou un type d'habitation à privilégier?) :

    Recherche et accès au logement La recherche de mon logement a été amorcée avant mon arrivée au Rwanda, ce qui m’a permis d’avoir une certaine tranquillité d’esprit à mon arrivée. Le processus m’a pris environ deux semaines, le temps de comparer différentes options et de m’assurer que le logement répondait à mes besoins en termes de confort, de sécurité et de proximité. J’ai pu trouver ce logement grâce à l’appui de ma famille présente sur place, ce qui a facilité les démarches de visite, de négociation et de confirmation. Toutefois, pour les autres volontaires arrivés en même temps que moi, la recherche de logement s’est faite avec l’aide de l’organisme d’accueil, ou encore via des plateformes locales de recherche de logement. Ces options sont également efficaces et permettent d’avoir un éventail de choix selon son budget et ses préférences. D’après mon expérience, je recommande fortement de choisir un logement situé non loin du bureau ou du lieu de stage. Cela permet de gagner du temps sur les déplacements quotidiens, de réduire les frais de transport et de maintenir une meilleure flexibilité au niveau des horaires. En résumé, bien que la recherche puisse prendre un peu de temps, il est tout à fait possible de trouver un logement adapté avec un minimum d’anticipation et un bon réseau de soutien local.

Santé et sécurité

  • Quel a été le niveau de sécurité ressenti lors de votre séjour hors Québec et sur le campus de l'Université :

    Très sécuritaire

  • Recommandations:

    NA

Pays d'accueil

  • Que doit-on savoir à propos du transport (avion, train, autobus, taxi, bateau, vélo, coûts, cartes-rabais, etc.)?

    Transport au Rwanda : ce qu’il faut savoir Le système de transport au Rwanda est relativement bien organisé et adapté aux besoins quotidiens des résidents comme des visiteurs. Il existe plusieurs options de déplacement, chacune avec ses avantages en termes de coût, de rapidité et d’accessibilité. Transport aérien : Pour entrer au Rwanda, la plupart des voyageurs arrivent par avion via l’Aéroport International de Kigali. Le processus d’arrivée est généralement fluide, mais il est conseillé de prévoir son transport à l’avance pour rejoindre sa destination finale (par exemple, un taxi ou une navette). Transport urbain : Dans les villes comme Kigali, le moyen de transport le plus populaire et pratique est la moto-taxi (appelée localement « moto »), qui est rapide, peu coûteuse et disponible presque partout. Il existe aussi des bus publics bien organisés, avec des trajets réguliers et un tarif très abordable. Pour accéder aux bus, il est nécessaire d’obtenir une carte Tap&Go, une carte prépayée rechargeable utilisée pour le paiement des trajets. Taxi voiture : Bien que plus confortable, le taxi voiture est relativement plus cher. Il peut être utilisé ponctuellement pour des trajets spécifiques ou lorsque la moto n’est pas une option pratique. Transport interurbain : Pour se déplacer entre les différentes villes du pays (par exemple, Kigali – Musanze – Huye), il existe des compagnies de bus interurbains fiables et économiques. Les départs se font généralement depuis des gares routières principales, et les billets peuvent être achetés à l’avance. Vélo : Dans les zones rurales, le vélo est parfois utilisé comme moyen de transport, mais il reste moins courant dans les centres urbains pour des raisons de sécurité routière. Coûts et recommandations : Le transport local reste globalement abordable, surtout si l’on privilégie les motos ou les bus. Il est toutefois conseillé d’avoir toujours un peu de liquide (cash) sur soi, notamment pour les motos ou les petites courses. Aucune carte de réduction spécifique n’est couramment utilisée en dehors de la carte Tap&Go pour les bus. En résumé, se déplacer au Rwanda est simple, efficace et peu coûteux, à condition de bien connaître les options locales. Pour plus de commodité, il est utile de télécharger des applications locales comme Yego Moto ou SafeMotos pour commander une moto ou un taxi en toute sécurité.

  • Y a-t-il des lieux ou des choses à ne pas manquer (activités culturelles et touristiques, festivals, restos, auberges, parcs, centres récréatifs, etc.)? Avez-vous de bonnes adresses à donner?

    Lieux et activités incontournables au Rwanda Le Rwanda offre une grande variété d’activités culturelles et touristiques, qui permettent de découvrir la richesse de son patrimoine naturel et humain. Voici quelques incontournables à ne pas manquer lors de votre séjour : 1. Les Parcs Nationaux : Le Rwanda est célèbre pour ses parcs nationaux, en particulier le Parc National des Volcans, qui abrite les fameux gorilles de montagne. Une randonnée pour observer ces animaux majestueux dans leur habitat naturel est une expérience unique, classée parmi les meilleures du monde. Les Parcs de Nyungwe et Akagera sont également parfaits pour les amoureux de la nature, offrant des safaris, des treks à travers les forêts tropicales et l’observation de la faune locale. 2. Le Kigali Genocide Memorial : À Kigali, ne manquez pas de visiter le Kigali Genocide Memorial, un lieu de mémoire poignant qui retrace l’histoire du génocide de 1994. C’est une visite essentielle pour comprendre le passé du pays et la résilience du peuple rwandais. 3. Musées et Culture : Pour une immersion dans la culture rwandaise, le Musée National de Rwanda à Butare (Huye) est une étape importante. Vous y découvrirez des artefacts liés à l’histoire du pays, aux traditions et à l’artisanat rwandais. Le Centre Culturel Kandt à Kigali est aussi un excellent endroit pour découvrir l'art et la musique locale. 4. Festivals : Le Rwanda accueille plusieurs festivals tout au long de l'année. Parmi les plus connus, le Kigali Up Festival de musique, qui attire des artistes internationaux et locaux, ainsi que le Festival du Film de Kigali, qui met en valeur les talents du cinéma africain. Ces événements sont une excellente occasion de découvrir la scène artistique rwandaise. 5. Restaurants et auberges : Kigali offre une variété de restaurants proposant une cuisine locale et internationale. Le Café Bourbon est un endroit populaire pour un bon café, tandis que The Hut offre une expérience culinaire raffinée avec une vue imprenable sur la ville. Pour des repas authentiques rwandais, Chez Lando et La Bonne Adresse sont des choix parfaits. Si vous recherchez une expérience plus décontractée, le Bourbon Coffee et Shokola Café sont des lieux agréables pour rencontrer des locaux et d'autres voyageurs. 6. Activités de plein air et loisirs : En dehors des parcs, Kigali offre plusieurs centres récréatifs comme le Kigali Golf Club, idéal pour les passionnés de sport. Pour les amateurs de randonnée, les collines autour de Kigali et la région de Nyamirambo offrent des paysages magnifiques et des vues exceptionnelles. De plus, les lacs comme le Lac Kivu sont parfaits pour des excursions en bateau ou pour se détendre au bord de l’eau. 7. Marchés locaux : Pour vivre une expérience locale authentique, visitez les marchés de Kigali, comme le Marché de Nyabugogo. C’est un endroit animé où vous pourrez acheter des produits frais, des souvenirs artisanaux, et découvrir la vie quotidienne des habitants. En résumé, le Rwanda est une destination riche en activités culturelles et naturelles qui sauront satisfaire tous les goûts, que vous soyez passionné d’histoire, de nature, ou de gastronomie locale.

Adaptation culturelle et sociale

  • Appréciation générale de votre adaptation et intégration dans votre nouveau milieu de vie :

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Veuillez décrire les aspects suivants de votre adaptation et de votre vie sociale :

  • Contact avec la population locale et création de nouvelles amitiés (créer des liens, intégrer des cercles sociaux, recommandations, etc.) :

    Adaptation et vie sociale : Contact avec la population locale et création de nouvelles amitiés Mon adaptation au Rwanda s’est bien déroulée, notamment grâce à l’accueil chaleureux de la population locale et à ma volonté de m’impliquer dans les communautés et cercles sociaux. Dès mon arrivée, j’ai pris soin de créer des liens avec les Rwandais.es en participant à des activités communautaires et en m'intéressant à la culture locale. Les Rwandais.es sont extrêmement accueillant.es et ouvert.es, ce qui a facilité l’intégration. J’ai eu l’opportunité de m’engager dans des discussions avec les habitants, que ce soit lors de mes déplacements en ville, lors de mes courses au marché ou en échangeant avec mes collègues au travail. Ces échanges ont été non seulement enrichissants mais aussi essentiels pour mieux comprendre la culture, les coutumes et les valeurs locales. L’un des éléments qui m’a le plus marqué a été la facilité avec laquelle il est possible de créer des liens d’amitié. La hospitalité rwandaise se manifeste non seulement dans les échanges amicaux mais aussi dans les invitations à partager des repas ou des moments conviviaux avec des familles locales. Ces occasions ont été des moments d’apprentissage précieux sur les traditions culinaires et les modes de vie locaux. Pour intégrer des cercles sociaux, il est recommandé de participer à des activités locales, qu’il s’agisse de festivals culturels, de projets communautaires ou même de rencontres informelles dans des cafés ou des événements organisés par les expatriés. Ces activités permettent non seulement de tisser des liens mais aussi de mieux comprendre la dynamique sociale rwandaise. En termes de recommandations, il est important d’être ouvert, respectueux et curieux de la culture locale. Apprendre quelques mots de Kinyarwanda peut également faciliter les interactions et témoigner d’un effort d’intégration. Participer à des événements locaux et créer des connexions avec des collègues de travail, des voisins, ou des membres de la communauté locale est une excellente manière de se faire des amis et de s’intégrer pleinement. En somme, le Rwanda offre de nombreuses opportunités pour nouer des amitiés et se faire une place dans les cercles sociaux, à condition de s’ouvrir à la culture locale et de participer activement à la vie de la communauté.

  • Quels ajustements avez-vous dû faire pour bien vous adapter?

    Ajustements pour une adaptation réussie L’adaptation à un nouveau pays et à une nouvelle culture nécessite généralement quelques ajustements pour assurer une transition fluide et agréable. Au Rwanda, j’ai dû faire quelques ajustements, tant sur le plan personnel que professionnel, pour m'intégrer pleinement dans mon environnement. 1. S'adapter à la culture locale L’un des premiers ajustements a été d’accepter et d’embrasser la culture rwandaise. Le Rwanda a une culture collective forte et un sens de la communauté très marqué, ce qui m’a amenée à réévaluer mes propres habitudes et à adopter des comportements plus collectifs et communautaires. J’ai appris à être plus attentive aux coutumes locales, comme les salutations, et à comprendre les différences dans les rythmes de travail et de vie quotidienne. 2. Apprendre la langue locale Bien que l’anglais et le français soient largement parlés, le Kinyarwanda reste la langue principale du pays. Bien que je ne sois pas devenue fluente, j’ai appris quelques expressions de base pour faciliter mes interactions quotidiennes avec les locaux. Cet effort m’a permis non seulement de mieux m’intégrer, mais aussi de gagner la reconnaissance et le respect des habitants. 3. Gestion du temps et des attentes Un autre ajustement important a été l’adaptation à la gestion du temps. Au Rwanda, les horaires de travail et les rythmes sociaux peuvent être plus flexibles comparativement à ce que je connaissais auparavant. J’ai dû ajuster mes attentes concernant les délais et adopter une approche plus patiente et flexible, tout en veillant à respecter mes engagements professionnels. 4. Se familiariser avec le système de transport Au début, les déplacements en moto-taxi et en transport public m’étaient quelque peu nouveaux. J’ai dû m’habituer aux différentes pratiques locales, comme négocier les prix avec les conducteurs de moto, et à la manière dont le transport fonctionne dans les zones urbaines et rurales. Cette adaptation a été essentielle pour la gestion de mes déplacements quotidiens. 5. Créer un équilibre entre le travail et la vie personnelle Enfin, un ajustement clé a été de trouver un équilibre entre mes responsabilités professionnelles et mon temps personnel. Le travail au sein de l'organisation partenaire était exigeant, mais j’ai aussi fait un effort pour explorer le pays, rencontrer des gens et participer à des activités sociales pour maintenir un équilibre de vie. En résumé, ces ajustements ont été nécessaires pour me sentir pleinement intégrée et à l’aise dans mon nouvel environnement. Ils ont enrichi mon expérience et m’ont permis de m’adapter plus rapidement tout en tirant parti de cette immersion culturelle.

  • Quels aspects de la culture de votre pays d'accueil avez-vous appréciés ou avez-vous trouvé difficiles?

    Aspects de la culture du Rwanda : Appréciations et défis Le Rwanda est un pays riche en culture et en traditions, et mon expérience sur place m’a permis de découvrir plusieurs aspects fascinants tout en m’adaptant à d'autres plus difficiles. Voici les éléments de la culture rwandaise que j'ai particulièrement appréciés ainsi que ceux qui m'ont posé certains défis. Aspects appréciés : L'hospitalité et la convivialité L’un des aspects les plus marquants de la culture rwandaise est sans doute l’hospitalité. Les Rwandais.es sont extrêmement accueillant.es et ont une grande capacité à ouvrir leur cœur et leur maison. Que ce soit lors de rencontres informelles ou d'invitations à partager un repas, j’ai été constamment frappée par la gentillesse et l’hospitalité des locaux, ce qui a facilité mon intégration. Le sens de la communauté La solidarité communautaire est un élément clé de la culture rwandaise. Les relations interpersonnelles sont fondées sur le respect mutuel et l'entraide. Cela se reflète dans la vie de tous les jours, que ce soit dans les familles, les quartiers ou au travail. J’ai beaucoup apprécié cet aspect de la culture, car il crée un environnement où les gens se soutiennent les uns les autres. Les traditions et cérémonies Les traditions rwandaises, telles que les cérémonies liées à l’agriculture, les festivités culturelles ou encore les danses traditionnelles, sont un véritable enrichissement. J’ai eu la chance d’assister à certains événements où la musique, les danses et les costumes faisaient revivre l’histoire et les racines du pays. Cette connexion à la culture locale m’a permis de mieux comprendre l’identité rwandaise. Le respect des aînés Le respect des aînés est un principe fondamental dans la culture rwandaise. Il est courant de voir des jeunes manifester une grande vénération envers les personnes âgées. Cela se reflète aussi dans la manière dont les conversations et les interactions sociales sont menées, avec un grand respect pour les opinions et les expériences des aînés. Aspects plus difficiles : La gestion du temps L’un des ajustements les plus difficiles a été la perception du temps, qui peut être plus flexible qu’en Occident. Par exemple, les horaires de travail peuvent être moins stricts, et les rendez-vous peuvent être retardés sans préavis. Ce n’est pas toujours facile à gérer, surtout quand l’on est habitué à une gestion du temps plus rigide, mais c’est un aspect de la culture qu'il faut accepter et adapter son propre rythme à cette flexibilité. La communication indirecte Une autre difficulté a été l'approche indirecte de la communication. Les Rwandais.es préfèrent souvent éviter les confrontations directes et s’expriment de manière plus subtile. Cela peut rendre certaines discussions plus difficiles à comprendre pour les étrangers, surtout lorsqu'il s'agit de critiques ou de désaccords. S’adapter à cette forme de communication m’a demandé une certaine patience et observation. Les attentes sociales et les rôles de genre Bien que des progrès aient été réalisés, certaines attentes sociales et les rôles de genre peuvent encore être assez traditionnels, notamment dans les zones rurales. Il m’a fallu ajuster ma manière d'interagir et de comprendre les dynamiques sociales en ce qui concerne les femmes et les hommes, notamment dans les espaces publics ou au travail. En résumé, la culture rwandaise m’a offert une expérience enrichissante, marquée par une hospitalité exceptionnelle et un sentiment de communauté fort. Toutefois, certains aspects, comme la gestion du temps et la communication indirecte, ont été plus difficiles à appréhender. Ces défis ont toutefois contribué à une immersion encore plus profonde et à une compréhension plus nuancée du Rwanda.

  • Apprentissage de la langue

    Apprentissage de la langue : Perspective personnelle et des autres volontaires Bien que je sois déjà familière avec le Kinyarwanda, ayant une certaine maîtrise de la langue avant mon arrivée, j’ai pu constater l'importance de cette compétence pour une intégration réussie au Rwanda. Le Kinyarwanda étant la langue principale du pays, ma connaissance de base m’a permis de m’adapter plus rapidement et de faciliter mes interactions quotidiennes avec les habitants. Même si l'anglais et le français sont couramment utilisés dans les zones urbaines, il est évident que le Kinyarwanda reste central dans la vie sociale et professionnelle, et je me suis efforcée de l’utiliser davantage au quotidien, notamment lors de mes déplacements en ville ou de mes interactions avec mes collègues et voisins. Cependant, pour les autres volontaires qui n'avaient pas de connaissances préalables du Kinyarwanda, l’apprentissage de la langue a constitué un petit défi. Beaucoup ont dû s’adapter rapidement à un environnement où la majorité des conversations quotidiennes se déroulent en Kinyarwanda. Certains ont utilisé des applications pour apprendre les bases de la langue ou participé à des événements ainsi qu'interagir souvent avec le personnel de l'organisme d'accueil pour apprendre des mots courants. L'expérience m’a permis de réaliser que bien qu’il soit possible de se débrouiller en anglais ou en français dans certaines situations, parler le Kinyarwanda améliore non seulement l’efficacité des interactions mais aussi la qualité des relations avec les locaux. Les volontaires qui ont fait un effort pour apprendre le Kinyarwanda ont non seulement facilité leur intégration sociale, mais ont également gagné le respect et la reconnaissance des communautés locales. Pour ceux qui n'avaient pas de compétences linguistiques en Kinyarwanda, il a souvent fallu être particulièrement attentif à la communication non verbale et à l’utilisation d’un vocabulaire simplifié pour réussir à se faire comprendre. En résumé, bien que je connaisse déjà le Kinyarwanda, j'ai constaté que pour d'autres volontaires, l'apprentissage de la langue a été un aspect important de leur expérience d’adaptation. Je recommande vivement aux futurs volontaires d’acquérir les bases du Kinyarwanda avant ou dès leur arrivée pour faciliter l'intégration et enrichir leur expérience de travail et de vie au Rwanda.

  • Avez-vous des recommandations quant à l'adaptation et l'apprentissage de la langue?

    Recommandations pour l’adaptation et l’apprentissage de la langue Pour réussir son adaptation au Rwanda, en particulier dans le domaine de l’apprentissage du Kinyarwanda, il est essentiel d’adopter une approche proactive et d’engager des interactions régulières avec les locaux. Voici quelques recommandations qui m'ont personnellement aidée, ainsi que des conseils pour les futurs volontaires. 1. Parler fréquemment avec le personnel local L’un des moyens les plus efficaces pour apprendre la langue et s’adapter à la culture locale est de parler régulièrement avec le personnel des organismes ou les collègues de travail. Le Kinyarwanda étant la langue principale, en discuter avec des locuteurs natifs permet de non seulement améliorer sa maîtrise de la langue mais aussi de mieux comprendre les nuances culturelles et sociales. Engager des conversations simples, même si elles sont brèves, renforce non seulement vos compétences linguistiques mais aussi vos relations professionnelles et personnelles. 2. Participer à des événements locaux Participer à des événements communautaires, culturels ou sociaux est également une excellente manière de s’immerger dans la langue et la culture rwandaises. Que ce soit des festivals, des célébrations locales ou des activités communautaires, ces événements permettent de côtoyer des locuteurs natifs dans des contextes informels, offrant ainsi une occasion précieuse d’apprendre tout en s'amusant. De plus, c’est un moyen efficace de tisser des liens et de se faire des amis qui peuvent vous soutenir dans votre apprentissage de la langue. 3. Utiliser des ressources d’apprentissage Bien que l'interaction quotidienne soit un excellent moyen d'apprendre, il est également utile de recourir à des ressources d’apprentissage formelles telles que des applications, des cours en ligne ou des manuels. Des plateformes comme Duolingo ou des applications spécifiques au Kinyarwanda peuvent fournir une base solide et compléter l’apprentissage informel. L’organisme d'accueil peut également organiser des sessions de formation en langue pour aider les volontaires à se familiariser avec les bases du Kinyarwanda. 4. Soyez patient et persévérant L’apprentissage d’une nouvelle langue, surtout lorsqu'elle est si différente de celles que l’on connaît, demande du temps et de la patience. Ne vous découragez pas si les progrès semblent lents au début. La persévérance est la clé. Chaque conversation, même maladroite, est une occasion d’apprendre. En résumé, parler fréquemment avec le personnel local et participer activement à des événements communautaires sont des stratégies gagnantes pour améliorer rapidement votre maîtrise de la langue tout en vous intégrant dans la culture locale. Il est également important de ne pas sous-estimer l'impact de la patience et de la pratique régulière dans le processus d’adaptation et d’apprentissage de la langue au Rwanda.

Faire le point

  • En général, que retenez-vous de votre expérience?

    Ce que je retiens de mon expérience Cette expérience a été pour moi profondément transformatrice, tant sur le plan professionnel que personnel. En tant que stagiaire auprès de l’ONG Duterimbere, j’ai eu l’opportunité de m’impliquer activement dans des initiatives concrètes visant à promouvoir l’égalité de genre, l’autonomisation économique des femmes et la sensibilisation à la masculinité positive. L’un des moments les plus marquants fut la coordination et la contribution à une formation à Karongi, où j’ai pu non seulement participer à l’organisation de la session, mais aussi rédiger des rapports stratégiques post-formation intégrant des recommandations concrètes. J’ai collaboré avec des femmes entrepreneures, écouté leurs récits de changement, et participé à la valorisation de leurs parcours. Cette immersion m’a permis de voir comment des actions bien ciblées peuvent avoir un impact réel sur la vie des femmes, de leurs familles et de leurs communautés. Grâce à cette expérience, j’ai également pu mobiliser mes compétences en gestion de projet, en communication et en technologies de l'information, notamment dans l’élaboration d’outils numériques de suivi et dans la structuration de documents stratégiques. Cela m’a permis de renforcer mon profil professionnel tout en servant une cause qui me tient profondément à cœur. Enfin, j’ai redécouvert l’importance d’un ancrage local dans les actions de développement. Travailler sur le terrain, échanger directement avec les communautés, adapter les stratégies aux réalités locales, a nourri ma conviction de vouloir œuvrer durablement sur le continent africain au service des communautés. En somme, cette expérience m’a confortée dans mon choix de carrière et a renforcé mon engagement envers des approches inclusives, équitables et participatives dans le développement international.

  • Autres commentaires ou conseils à adresser aux futurs participants :

    Conseils aux futurs participants Aux futurs participants, je recommande vivement d’aborder cette expérience avec ouverture d’esprit, flexibilité et engagement authentique. Travailler dans un nouveau contexte culturel et professionnel demande parfois des ajustements, mais chaque défi est une opportunité d’apprentissage et de croissance personnelle. Il est important de prendre le temps de bien se préparer avant le départ : que ce soit pour le logement, la compréhension du contexte local, ou la planification de vos finances. Par exemple, je recommande d’ouvrir un compte ou une application de transfert comme Remitly ou WorldRemit pour faciliter les transferts d’argent entre le Canada et le Rwanda, tout en ayant du cash pour les premiers jours ou pour faire des échanges dans les banques locales. Sur le terrain, n’hésitez pas à poser des questions, à aller vers les gens, et à multiplier les interactions avec le personnel local et les bénéficiaires. Ces échanges sont souvent les plus enrichissants. Parler avec les collègues, participer à des événements communautaires ou culturels, ou simplement discuter avec votre voisinage, vous aidera à mieux vous adapter et à vous sentir partie intégrante de la communauté. Enfin, je vous encourage à documenter vos apprentissages, à faire preuve d’initiative dans vos tâches, et surtout à garder une posture d’écoute et de respect envers les partenaires locaux. Leur expertise du terrain est précieuse, et une collaboration basée sur la confiance et l’humilité est la clé d’une expérience réussie.

  • Merci d'inscrire l'adresse de votre blogue de voyage ou de toute autre adresse Internet qui vous a été utile pour votre séjour :

    Adresse de blogue ou ressources utiles Je n’ai pas tenu de blogue personnel durant mon séjour, mais plusieurs ressources m’ont été particulièrement utiles pour bien me préparer et m’adapter une fois sur place. Parmi celles-ci : Jumia House Rwanda et Houseinrwanda.com pour la recherche de logement. Google Maps et Yego Moto App pour les déplacements locaux. Remitly ou WorldRemit pour les transferts d’argent sécurisés entre le Canada et le Rwanda. Instagram et TikTok : excellents pour trouver des recommandations de restaurants, cafés, activités touristiques et événements culturels en suivant des hashtags comme #KigaliEats, #VisitRwanda ou encore des comptes d'influenceurs locaux. Ces plateformes m’ont permis de découvrir des endroits intéressants, de m’organiser au quotidien, et de profiter pleinement de l’expérience à la fois sur le plan professionnel et personnel.

Formations prédépart (en ligne et en salle)

  • Impression sur les formations prédépart offertes par le Bureau International (en ligne et en salle)

    Points forts et points faibles des formations offertes par le Bureau international Les formations offertes par le Bureau international se sont révélées très enrichissantes, notamment grâce à la qualité des interactions et des échanges avec les autres participants ainsi que les scénarios pratiques proposés, qui permettaient de se projeter dans des situations concrètes sur le terrain. Ces éléments ont grandement facilité la compréhension des réalités culturelles, logistiques et professionnelles à anticiper dans le cadre d’un stage à l’international. Cependant, un aspect pourrait être amélioré pour rendre le processus encore plus fluide et accessible : Je recommanderais de mettre en place sur le site du Bureau international un espace dédié qui présente clairement, étape par étape, la procédure pour postuler à un stage international. Cette section pourrait inclure : Les formations obligatoires à compléter ; Les documents à remplir et leurs échéances ; Les différentes bourses disponibles et la manière de les demander ; Les personnes-ressources à contacter en cas de besoin ; Ainsi que les liens directs vers chacun de ces éléments. Un tel outil permettrait aux futurs participants d’avoir une vue d’ensemble claire et centralisée du parcours à suivre, tout en réduisant les incertitudes ou oublis potentiels durant les démarches préparatoires.