Anne Bernard
Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
Département des sciences du bois et de la forêt
Anne Bernard est professeure adjointe en politique et législation forestières au Département des sciences du bois et de la forêt. Son parcours universitaire et professionnel des 15 dernières années s’est principalement effectué dans le domaine des sciences forestières. Au fil de ses expériences, elle a su développer une expertise sur les questions sociales, politiques et légales dans un contexte forestier. Elle a d’abord obtenu un baccalauréat en aménagement et environnement forestiers de l’Université Laval, avant de réaliser une maîtrise en sciences forestières sur l’adaptation aux changements climatiques des communautés locales dans le bassin du Congo, aussi à l’Université Laval.
Depuis 2021, elle est détentrice d’un doctorat en sciences forestières de l’Université Laval. Sa thèse s’intitule Démystifier la gestion intégrée des ressources et du territoire au Québec, un acteur à la fois. Ses intérêts de recherches se concentrent autour des gouvernances forestière et territoriale, de la participation publique en lien avec l’exploitation des ressources naturelles, ainsi que des transitions durables. Elle a présenté les résultats de ses recherches dans plusieurs conférences internationales et elle a publié plusieurs articles évalués par les pairs dans des revues scientifiques et des ouvrages collectifs. Elle est une membre régulière du Centre de recherche en développement territorial.
Au fil des années, elle s’est distinguée grâce à plusieurs réalisations en enseignement, notamment l’implantation de méthodes d’évaluations innovatrices qui misent sur l’établissement d’un lien de confiance entre les étudiantes et les étudiants et le corps enseignant. Depuis 2018, elle est administratrice de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec, où elle a contribué au lancement d’un programme de mentorat, d’un comité pour la relève et d’un comité sur l’équité, la diversité et l’inclusion. Elle s’est aussi impliquée à titre de coprésidente dans le Réseau international étudiant pour le climat, lancé en 2020 par l’Institut en environnement, développement et société et l’Université Laval.