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Simon Coulombe

Faculté des sciences sociales
Département des relations industrielles

Simon Coulombe détient un doctorat en psychologie communautaire de l'Université du Québec à Montréal. Avant de se joindre au Département des relations industrielles, il a été professeur adjoint en psychologie à l'Université Wilfrid Laurier, en Ontario.

Ses recherches visent à cartographier les conditions et les interventions dans les milieux de travail qui promeuvent le bien-être positif (au-delà de la simple absence de détresse ou de difficultés) chez les travailleuses et travailleurs marginalisés ou vulnérables, par exemple les personnes vivant avec des difficultés de santé mentale ou des incapacités physiques, les personnes immigrantes, les membres des communautés LGBTQ+ et les travailleuses et travailleurs en situation de précarité.
 
Ses travaux récents, notamment en collaboration avec l'organisme Revivre, portent plus spécifiquement sur le rôle du soutien à l'autogestion et du soutien par les pairs dans le bien-être et le rétablissement occupationnel des employées et employés avec des difficultés de santé mentale. En collaboration avec des collègues aux horizons disciplinaires variés de l'Université Laval, de l'Université du Québec à Montréal et de l'Université Wilfrid Laurier, Simon Coulombe mène aussi une étude longitudinale portant sur les répercussions de la crise de la COVID-19 sur la santé mentale des travailleuses et des travailleurs au Québec et ailleurs au Canada.
 
Ses recherches mettent de l'avant un cadre théorique et méthodologique multidisciplinaire intégrant des approches issues de la psychologie industrielle et organisationnelle, de la psychologie positive, de la santé occupationnelle, de la psychologie de l'environnement et de la gestion de la diversité au travail.
 
Simon Coulombe est passionné par le mentorat d'étudiantes-chercheuses et d'étudiants-chercheurs à tous les cycles d'enseignement. Il souhaite valoriser l'enseignement expérientiel afin de permettre aux étudiantes et aux étudiants d'acquérir des connaissances pratiques et de réfléchir de façon critique et approfondie aux questions liées à la santé mentale des travailleuses et des travailleurs.